mardi 24 mai 2011

Jules César, sa rencontre avec Cléopâtre, son assassinat...


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Notre voyage dans la cité de César continue. Notre dernier article sur le premier triumvirat nous a mené jusqu’en Égypte après la fin tragique de Pompée.
Reprenons donc cette histoire. Nous avons, avec les enfants, très peu parlé de la reine Cléopâtre, mais elle intervient à ce moment là. César arrivé en Égypte, elle trouvera un moyen original de le rencontrer. En effet, elle avait besoin d’un homme fort qui pourrait la protéger. César, fort et puissant semblait faire l’affaire. Il faut savoir que Cléopâtre gouvernait avec son frère Ptolémée mais que ce n’était pas de gaieté de cœur. Elle se fit donc déposer aux pieds de César parmi un lot de tapis. César fut impressionné par la beauté de cette femme, et elle, en prit avantage. Il lui promit tout ce qu’elle voulut. Alors, elle lui demanda de marcher sur Alexandrie, d’envahir le palais et de capturer Ptolémée afin de lui permettre de régner seule sur le royaume d’Égypte. Mais les alexandrins n’étaient pas de cet avis, et attaquèrent le palais. En fait, César n’avait pas prévu de rester très longtemps et n’avait avec lui qu’un nombre limité de soldats. Il resta ainsi « coincé » pendant 6 mois. Au printemps de l’an 47 av J.C, il décida de libérer Ptolémée pour tenter d’arranger les choses…Mais cela attisa encore plus la haine des habitants, et ceux ci se lièrent avec le roi pour attaquer de nouveau le palais. Les renforts romains arrivèrent enfin d’Asie mineure. César tua Ptolémée, mais fatigué, il décida de rester encore un peu avec sa dulcinée…
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Il finit par la quitter au printemps suivant pour se rendre en Asie, là où Crassus fut tué. En septembre, il avait déjà gagné 47 batailles. Il se tourna alors vers l’Afrique, et gagna à nouveau. Il rentra à Rome en vainqueur incontesté en 45 av J.C avec l’Afrique, l’Égypte, l’Asie et la Gaule dans ses mains!
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le bonheur en famille assassinat de César
En rentrant, César se proclama dictateur de Rome à vie avec le consentement du peuple et du sénat. Il refusa même par deux fois la couronne royale que son peuple lui offrait. Les sénateurs étaient donc en grande partie de son coté, mais Caius Cassius lui, lui restait hostile. Il finit d’ailleurs par amener Marcus Junius Brutus, ami et fils adoptif du dictateur, a embrassé sa cause. Pour eux, César était un tyran. Un complot fut alors organisé et Brutus donna son accord. Il fallait stopper en toute hâte l’ascension de César. Le 15 mars, jour des Ides de Mars, fut choisi par les conjurés pour passer à l’action. C’est ce matin là, que Calpurnia, sa femme, supplia César de ne pas se rendre au sénat, elle avait fait un mauvais rêve, et avait une mauvaise impression. Mais César sourit et lui dit de ne pas s’inquiéter. Cette réunion à la curie était trop importante pour la manquer.
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Au moment d’entrer dans la curie, il rencontra le devin qui jadis lui avait annoncé que les ides de mars lui serait fatales. mais cela ne l’empêcha pas d’avancer. A l’intérieur, un groupe de sénateurs l’attendaient. L’un d’eux s’avança, sortant un poignard de sa toge et le frappa. D’autres l’entourèrent et frappèrent aussi de leurs poignards un César acculé sous les coups. Cassius et Brutus participèrent aussi à cet assassinat. César reconnaissant Brutus dit: « en grec: « Kai su teknon », ce qui signifie en latin « Tu quoque, mi fili » (« Toi aussi, mon fils »). Puis, il se couvrit les yeux et la tête de sa toge et se laissa aller à son destin. Les poignards continuèrent de s’abattre sur lui; en tout, 23 coups de couteau. Ironie du sort, il tomba au pied de la statue de son ancien allié et ennemi Pompée. Le dernier membre du premier triumvirat était mort
L’assassinat vu par Quentin…
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Ici, Tristan…
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Tristan à nouveau, avec l’arrivée de César à Rome…
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Un petit mandala de César ICI
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Un César et une Cléopâtre moderne, façon Manga sur Hugo l’escargot ICI
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